Est-ce la nostalgie du théâtre paroissial de son enfance, des coulisses, dessous de scène et fenêtre du souffleur, des décors peints sur toiles roulées : chemin fuyant au lointain vers une cabane à jardin ou paysages de chasse à cour, que Jean-Marie Jobard met en scène ? Est-ce par son expérience de musicien particulièrement de paysagiste sonore, par sa formation de mime ?
Ou est-ce tout simplement sa quête du juste, le geste,
le corps dans l’espace, la composition du tableau dans le cadre ?
Son ambition, (sa prétention ?) : accompagner l’artiste sur scène
afin qu’il révèle le meilleur de lui-même … Tout simplement !